Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 15:21

 

 

Le week-end arriva et je me préparais pour la petite truie à sa maman. Je voulais qu’elle déguste et qu’elle se rappel de sa 1e fois.

 
J’arrivai et me présenta pour ma leçon particulière. Martine m’avait apprise quelques trucs sur sa fille avant mon arrivé.

 
1) Elle en pince pour moi
2) Elle est vierge
3) Elle savait que je venais pour ma leçon et avait avertie sa mère qu’elle ferait tout ce qu’elle peu pour m’avoir et qu’elle avait hâte de perdre son pucelage1-copie-4.jpg

 
Martine avait enfilé une jupe droite blanche fendu sur le côté en haut des genoux. Des bas à mis cuisse recouvraient ses superbes jambes.

 

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Quand je l’ai vue, une érection se pointait immédiatement dans mon pantalon. Rien que d’écrire ces lignes  me fait bander très dur.

 

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La petite n’était pas en reste. Cette petite nymphette portait une petite jupe noire un peu copiée sur sa maman. Disons, qu’elle avait un peu le physique de sa mère, mais un peu plus petite et des seins un peu moins gros, quoi que plus que respectable. Elle avait un cul parfait, rebondi à souhait et de très longs cheveux bouclés magnifiques et elle avait hérité de la grande bouche et du superbe sourire de sa maman. Un chandail très moulant complétait le tout; bien juché sur des talons aiguilles avec lequel elle aurait fait bander un moine.

 

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J’étais vraiment, mais vraiment très excité.

 
Je saluai la petite en premier car c’est elle qui ouvrit la porte. Elle me fit la bise et tout de suite je l’ai complimenté sur sa tenue. Elle me remercia avec un sourire aguichant et me retourna le compliment. Martine fit son apparition et je l’a complimenta à son tour.
-Mes dames, très honnêtement, vous êtes sûrement les deux femmes les plus désirables que j’ai jamais vus. Martine pris sa fille par la taille et me regarda en disant.
-Merci du compliment. C’est vrai qu’on est pas mal, mais il ne serait pas temps de passer à ta leçon de français?

 

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Martine me pris par le bras et me fit monter à sa chambre. Le petite me regarda m’éloigner avec sa mère tout en me fixa du regard et en se tournant légèrement de côté pour que je regarde son beau petit cul. Quelle petite chienne, comme maman.
Une fois dans la chambre je fis mettre Martine à quatre pattes le string descendu à mi-cuisse, la jupe enlevée et en  soutien-gorge.

-Appelle ta fille.

 

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J’entendais les talons claquer quand elle montait les marches et je bandais ferme. Elle ouvrit la porte. Elle resta figée la bouche ouverte en voyant sa salope de mère dans cette position. Je brisai le silence.
-Comment la trouves-tu? Elle me regarda mais il ne sorti pas un mot de sa belle gueule. Avoue quelle est bandante comme ça non? 

 

 

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Je m’approchai d’elle et la saisie doucement par le bras en la dirigeant vers Martine. Elle me suivi docilement.

-Je pense que tu viens de comprendre que ta chienne de mère donne plus que des leçons de français. Dis-lui tout salope.

 
Martine lui raconta qu’elle devait faire tout ce que je lui disais sinon elle perdrait son emploi et elles se retrouveraient à la rue.

La petite conne se mit à sangloter.

J’adorais ça.

 

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-Alors chérie, tu aides ta maman? Parce que tu sais, ta mère adore m’être totalement soumise, mais ce qu’elle aime encore plus c’est de m’offrir sa fille. Et avant qu’elle ne réponde, je l’ai jeté aux pieds de sa mère et je lui aie dit de prendre la même position. Lentement de sa main tremblotante, elle fit glisser son petit string le long de ses belles cuisses. Puis je l’a stoppa nette. Je n’en croyais pas mes yeux. Sa culotte avait un petit rond de cyprine. Cette vierge mouillait! Je passai ma main sur sa fente en laissant glisser un doigt et elle était trempée. 

 

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-Martine, ta fille est une salope comme sa mère, goutte. 

Elle lécha mes doigts et en même temps je vérifiais sa fente et elle coulait comme une fontaine. Même aujourd’hui, je n’ai jamais eu une femme comme elle dans mon lit. La pute parfaite, la chienne soumise ultime. 

 

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Je retournai sa fille sur le dos et lui demandai de bien tenir ses jambes écartées. Je lui dis de regarder sa mère dans les yeux. Je présentai ma queue sur le bord de ses lèvres humides. Elle tremblait. Je m’enfonçai lentement dans sa chatte vierge et je lui défonçais l’hymen. Elle poussa un cri de hurlement et je commençais à la limer de plus en plus vite. Je m’enfonçais juste qu’à la garde et je me mis à défoncer cette beauté.C`était tellement serré. 

 

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Cette conne se mit à chialer et à dire que ça faisait mal. Je l’a giflai un beau coup et lui dit de fermer sa gueule tout un lui donnant un bon coup au fond de sa petite chatte trop petite. Sa mère se mise à lui caresser les cheveux et lui dire que c’était normal la première fois et de me laisser faire. La petite se détendit un peu et je sentis qu’elle commençait à apprécier ma queue au fond d’elle. Finalement je lui bourrais la chatte avec la plus grande quantité de sperme que je n’avais jamais craché. Elle me serra les fesses pendant que je me vidais et elle reprit son souffle.

 

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-Désormais ma chéri tu es une salope. Ma salope, comme ta mère et vous êtes à moi.

Elle se remit à pleurer alors je sorti ma queue de sa chatte et la donna à nettoyer à sa mère.
-Regarde ta mère faire et apprend. 

Elle me nettoya complètement en regardant sa fille dans les yeux. La petite cessa de pleurer. Ma queue redurcie presque aussitôt. Je me positionnais derrière Martine après lui avoir enduit la rondelle de sa mouille et commença à l’enculer. Je me mis à la traiter de vide couilles, de truie, de salope et je lui dis de répéter le tout à sa fille. 


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-Chérie, c’est tellement bon d’être sa chienne, tu vas voir tu vas adorer, tout un monde s’ouvre pour toi ce soir.

 
La petite s’approcha et embrassa sa mère tendrement et j’arrêtais de la sodomiser pour admirer le spectacle. Elle me regarda dans les yeux et me dit :
-Je veux tout apprendre


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 Je lui donnai immédiatement une claque sur la gueule en lui disant de commencer à apprendre à la fermer.

Je retournais sa mère et je m’enfonçais dans sa chatte tout en l’étranglant et l’amena et bord de l’évanouissement. Puis je l’ai cogné. Je l’ai prise par les cheveux et je lui ai péter la tête sur le plancher à quelques reprise tout en lui explosant la chatte. Je l’ai rempli de sperme à son tour. Quel pied. Pendant que ma queue n’arrivait pas à débander, je saisie la petite truie par les cheveux et la traîna un peu plus loin dans la chambre ou à son tour je me mis à l’étrangler. Quand elle commença à suffoquer, je lui défonçais la gueule avec ma queue. Je sentais le fond de sa gorge à chaque coup que je donnais. Au bout de quelques minutes, je maintenais ma queue bien au fond et lui envoyais toute la sauce que je pouvais. Elle s’étouffa et je lui remis tout le foutre dans sa bouche et m’assura qu’elle avale le plus possible. Les deux connes étaient sonnées et j’étais épuisé. 

 

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Mais, je n’en avais pas fini avec elles. La nuit allait être longue. Je sorti de mon sac, les cordes que j’avais apporté et leur ligota les pieds et les mains et je les ai déposé sur le lit. Je suis allé prendre une douche et je suis retourné dans la chambre. Elles avaient repris leurs esprits. La petite avait un air effrayé et la mère son air de soumise que j’adore.

Elle dit à sa fille :
-Fais comme moi, baisse les yeux…

 


Par sexemechant - Publié dans : Gamines forcées
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