Sexe méchant
Cette salope est venue dans mon magasin pour s'habiller à bon compte.
C'est ma vendeuse qui l'a surprise occupée à voler des livres érotiques.
Alors on a décidé de lui donner une bonne leçon et de la dégoûter pour toujours de s'octroyer les affaires des autres.
Comme, c'est souvent le cas, l'occasion fait le larron, et des clients ont profités de la situation pour se précipiter sur la femelle à disposition.
Ce n'est pas moi qui va les blâmer !
On fout la salope à poil et on s'occupe de son joli corps de pute sans se préoccuper des autres clients qui n'osent pas regarder.
Elle a des seins bien fermes et tendus qui résistent sous nos doigts.
J'ai ce qu'il faut pour faire jouir sa chatte trempée contre sa volonté.
Et ça nous excite de l'entendre gueuler de plaisir et de honte malgrés elle.
Et entre deux séances d'utilisation perverse de son corps de salope, on s'amuse à l'humilier dans la douleur.
Maintenant, on a décidé de lui faire perdre toute notion des choses et de la baiser comme la vraie chienne en chaleur qu'elle est.
On va disposer de ses trous sans lui laisser la moindre possibilité de rebellion.
Elle est à nous, soumise à nos fantasmes les plus avilissant.
Elle est bonne, la pétasse, et plus elle appelle au secours sa mère, son mec, plus on la tringle avec brutalité, forçant le passage de son vagin,en cognant bien au fond de son trou mouillé.

A un moment on en a eu vraiment marre de l'entendre hurler et chialer, alors on l'a baillonnée.
Et lorsque les mecs on eu fini de cracher leur jus dans ses trous, c'est une femelle qui a pris le relais pour s'occuper d'elle et surtout de ses intimités de femelle ...
Mais il faut quant même que le dernier coup de bite soit donné par un homme, et c'est ce qu'on a fait en nous finissant sur sa face de salope exangue et souillée.
Après plusieurs heures de baise et d'humiliations, on a laissé la salope s'enfuir du magasin encore à poil, ses vêtements en paquet sous le bras, la chatte, le cul et la bouche en feu et encore plein de sperme d'un peu tout le monde.
Je ne pense pas qu'elle reviendra...